Quel beau travail ! Bravo aux élèves et à la maîtresse !



Quel beau travail ! Bravo aux élèves et à la maîtresse !
Après avoir bien travaillé tout au long du 2ème trimestre, nos latinistes de la classe de 6ème ont revêtu toges, tuniques et parures romaines pour se retrouver autour d’un joyeux goûter de classe.
Des déguisements très réussis, bravo les 6èmes !
Les élèves ont d’abord présenté avec talent des exposés sur différents thèmes de la civilisation romaine comme la vie à Pompéi, le Circus Maximus, la flotte romaine, la tenue du légionnaire etc.Â
Ils se sont ensuite déguisés en romains avant de festoyer gaiement en partageant les délicieux mets romains qu’ils avaient concoctés.
Un bon moment qui nous laissera de beaux souvenirs !
Photo de la porte de la classe avec les souvenirs photos des exposés réalisés
Petit voyage en Russie: exposé sur Saint Petersbourg !
Réalisation d’une fresque collective et récitation individuelle
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.
Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l’horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ;
Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là , tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.